La contraction des budgets culturels conduit de plus en plus collectivités et associations à rechercher des financements privés complémentaires (mécénat, financement participatif, boutique, restaurant…).
Ces pratiques suscitent encore des réticences chez certains professionnels.
Tour d’horizon de la problématique avec Jean-Michel Tobelem, professeur à l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, spécialiste de la gestion des équipements culturels, et directeur d’Option culture.
L’entretien réalisé par Hélène Girard pour la Gazette des communes est à lire à cette adresse.
Les questions étaient les suivantes :
- Sommes-nous à l’aube d’une nouvelle ère de l’économie de la culture ?
- Pourquoi, malgré tout, beaucoup d’acteurs culturels publics restent-ils aussi méfiants face aux subsides privés ?
- Qu’apportent ces deux techniques ?
- Les difficultés viennent-elles d’un manque de professionnalisation ?
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