Qualifiée par certains de « geste historique », la restitution par la France à la Corée du Sud de documents d’une valeur insigne – les manuscrits royaux de la dynastie Joseon (1392-1910), provenant de la bibliothèque Oegyujanggak située sur l’île de Kangwha – soulève chez d’autres observateurs une ferme opposition.

L’examen de cette affaire montre qu’elle se situe en réalité au croisement de plusieurs enjeux distincts :

  • la portée symbolique d’une démarche à caractère diplomatique,
  • l’inaliénabilité des collections publiques,
  • et la nécessité de l’élaboration d’une doctrine capable de faire face à d’inévitables demandes de restitution, qui ne cesseront probablement pas de se multiplier à l’avenir.

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