Voici le début de l’article que consacre Gautier Guigon dans le magazine Mag2Lyon à l’ouverture attendue du musée des Confluences.
« Le musée des Confluences, dont le coût de construction a fait polémique, ouvrira finalement ses portes au public fin 2014.
En coulisses, les équipes s’activent pour remplir les 22 000 m² de cet ovni muséographique.
“Confluence est un projet inédit dans l’univers des musées. C’est le premier qui offre une vision décloisonnée des domaines de la science et des récits de civilisation. C’est le résultat de cinq siècles d’Histoire”.
Hélène Lafont-Couturier, la directrice du musée des Confluences, défend bec et ongles “son” musée qui s’érige peu à peu sous le regard des Lyonnais, à la pointe de la presqu’île.
© B. Adilon/musée des Confluences/Département du Rhône
Malgré les retards à répétition sur le chantier et le scandale lié au coût faramineux du projet, estimé aujourd’hui à plus de 300 millions d’euros, contre 61 millions d’euros en 2000, le bâtiment devrait enfin être livré en 2014, pour une ouverture au public prévue en fin d’année.
Mais que va-t-il contenir ?
C’est en effet la nouvelle interrogation des détracteurs de ce projet.
Ce bâtiment va-t-il être une coquille vide coûtant encore plus cher aux contribuables ?
“L’ambition du musée des Confluences est forte puisqu’il s’agit de regrouper dans un même lieu un musée des cultures du monde comme Branly, un muséum d’Histoire naturelle, un conservatoire des Arts et métiers et un musée de l’Homme !”
Mais à l’intérieur de ce bâtiment de verre et d’acier, dessiné par l’architecte Wolf Prix, de l’agence d’architecture autrichienne Coop Himmelb(l)au, que se cache-t-il vraiment ? »
Pour lire la suite : www.mag2lyon.com – numéro 51 – novembre 2013.
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