Quelles perspectives pour le « Louvre d’après » ?

En 2019, les manifestations, médiatisées mais discutées, pour célébrer l’anniversaire des 30 ans de la pyramide de Pei, ont occulté la transformation profonde du « plus grand musée du monde » par sa fréquentation, avec plus de dix millions de visiteurs annuels avant la crise sanitaire actuelle. Cette transformation n’a toutefois pas été menée à son terme dans le cadre de la gestion actuelle, selon plusieurs observateurs qui la considèrent trop étriquée). Le silence du musée pendant la période de confinement, avec interdiction pour certains agents de télétravailler, alors que d’autres grands musées ont activement communiqué avec leurs publics, a aggravé cette incompréhension.

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Commentaires

2 réponses à “Quelles perspectives pour le « Louvre d’après » ?”

  1. Je trouve ça moyennement réfléchi de faire une collaboration dans le cadre du Louvre Abu Dhabi… m’enfin il faut continuer d’exister et se moderniser j’imagine. L’image véhiculée derrière est bien loin des espoirs de la société moderne.

    Question qui me taraude, selon les sources la Russie possède le plus grand musée du monde. Un moyen officiel de calculer la grandeur d’un musée existe ? Ou c’est au bon vouloir des gens…

  2. Tout dépend du critère pris en compte : le nombre d’objets figurant dans les collections permanentes, la surface du musée, le montant du budget de fonctionnement, le nombre de salariés, etc.
    Autrement dit, il n’y a pas un seul « plus-grand-musée-du-monde » ; tout dépend de quoi l’on parle.
    Et, en définitive, le plus important concerne probablement l’influence et le rayonnement du musée, ainsi que sa contribution à l’intérêt public local et international.

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