Le rôle du consultant (ingénierie culturelle) 5

Peut-on imaginer qu’un consultant ne travaille pas dans un climat de confiance avec le commanditaire de la mission ?

La réponse est bien sûr non !

Dans l’intérêt bien compris du maître d’ouvrage, il est nécessaire d’instaurer un climat dans lequel chacune des parties contribue – pour la part qui lui revient – à la réussite de la mission.

Le consultant doit évidemment exercer son rôle avec compétence, disponibilité et diligence.

Mais le maître d’ouvrage doit également être partie prenante du processus :

  • en dévoilant les enjeux réels (pas toujours divulgués au stade de l’appel d’offres) de la mission ;
  • en facilitant le travail de l’intervenant extérieur (mise à disposition des informations, aide à la prise de rendez-vous pour les entretiens à réaliser, etc.) ;
  • en apportant des réponses rapides aux sollicitations ;
  • en participant en tant que de besoin à l’élaboration des conclusions de la mission.

Simple bon sens, direz-vous ?

Certes, mais un bon sens qui n’est pas toujours partagé…

Avez-vous des anecdotes se rapportant à notre propos ?


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