Peut-on imaginer qu’un consultant ne travaille pas dans un climat de confiance avec le commanditaire de la mission ?
La réponse est bien sûr non !
Dans l’intérêt bien compris du maître d’ouvrage, il est nécessaire d’instaurer un climat dans lequel chacune des parties contribue – pour la part qui lui revient – à la réussite de la mission.
Le consultant doit évidemment exercer son rôle avec compétence, disponibilité et diligence.
Mais le maître d’ouvrage doit également être partie prenante du processus :
- en dévoilant les enjeux réels (pas toujours divulgués au stade de l’appel d’offres) de la mission ;
- en facilitant le travail de l’intervenant extérieur (mise à disposition des informations, aide à la prise de rendez-vous pour les entretiens à réaliser, etc.) ;
- en apportant des réponses rapides aux sollicitations ;
- en participant en tant que de besoin à l’élaboration des conclusions de la mission.
Simple bon sens, direz-vous ?
Certes, mais un bon sens qui n’est pas toujours partagé…
Avez-vous des anecdotes se rapportant à notre propos ?
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